Le manque des lieux d'aisance dans quasi l'ensemble de la capitale et même à l'intérieur du pays est un calvaire pour tous les habitants. À Libreville, en dehors de l'ancienne gare routière et de certains autres grands marchés (la Peyrie ou Nkembo) offrant des vestiaires pas forcément très propres moyennant la somme de 100 francs ou plus, il n'y a de toilettes publiques dans aucun quartier de la ville.
Gabonews (Libreville) – AllAfrica